Surya Bonaly Enceinte – Surya Bonaly, patineuse parisienne multi-récompensée des années 1990, revient sur son illustre carrière. La communauté sportive se souvient de la persécution raciale qu’elle a subie.La vie professionnelle de Surya Bonaly n’a guère été un fleuve tranquille.

En revanche, les années 1990 ont vu la montée du sportif comme l’un des artistes les plus doués de la décennie. Le nom “Surya Bonaly” fait référence au style de patinage popularisé par Surya Bonaly, neuf fois championne de France, quintuple championne d’Europe et triple vice-championne du monde. Cette action implique un saut en arrière sur les genoux et les pieds fléchis, suivi d’un atterrissage en avant sur un pied.

Ce mercredi 13 octobre, une longue interview de l’athlète a été publiée dans le Parisien. Elle y révèle qu’elle a beaucoup souffert au cours de sa carrière sportive. Et surtout comment elle a été ignorée à l’étranger à cause de la couleur de sa peau. Traduction française : “Beaucoup de choses m’ont déshonoré. La Niçoise d’adoption de Suzanne et Georges Bonaly se souvient : “J’étais noire, une enfant d’adoption, et trop différente des autres gosses.”

J’ai fait des choses que personne d’autre ne pouvait faire, comme des quadruples sauts, et ça rendait les gens jaloux. n’étaient pas très réceptifs et peu scolarisés. Alors que les autres filles n’avaient qu’à faire cinq doubles, je devais en faire huit. De plus, “ce n’était pas assez bien” tout le temps.

Malgré sa force, Surya Bonaly a eu du mal sur la glace. Des articles de la rubrique sport du Parisien évoquent le moment où l’auteur s’est dit “Je vais encore à l’abattoir”, juste avant les compétitions. Cependant, cela n’a fait que renforcer ma détermination à réussir. Quoi qu’il en soit, je suis content d’être un pionnier. Depuis que j’ai brisé les barrières et montré qu’être noir ou brun n’a pas besoin de jouer au basket ou au football, de plus en plus de personnes de couleur adoptent la course à pied comme sport. Nous pouvons également utiliser nos mains comme ruban à mesurer.

Quoi de neuf avec Surya Bonaly ces jours-ci ?

Surya Bonaly est une autre personne qui a été victime de racisme en public. Car le patinage sur glace a engendré tant de spectacles après son succès olympique, de Holiday on Ice à Blanche-Neige on Ice en passant par Champions on Ice, entre autres. Des souvenirs qui ne quitteront jamais son esprit… Quand j’allais au cinéma, j’étais moins bien nanti financièrement et moins élégamment habillé.

Il est peu probable que tout soit fait pour Surya. Le coureur vétéran se souvient : « J’ai dû courir sous des lumières apprivoisées pour que personne ne puisse me voir. Ma mère et moi nous disputions beaucoup, mais j’ai appris ma leçon et je fais un effort pour faire amende honorable. Elle vit aux États-Unis depuis plusieurs années maintenant après avoir quitté la France. Elle a déraciné sa vie et a déménagé au Nevada, où elle forme maintenant de jeunes cavaliers.

Surya Bonaly est l’une des patineuses françaises les plus talentueuses de sa génération, et à 48 ans, elle possède déjà l’un des palmarès les plus impressionnants de l’histoire de la patine française. Le Niçois a connu une carrière remarquable, remportant neuf championnats de France et cinq championnats d’Europe. Elle s’est fait connaître dans sa France natale, puis s’est retirée dans le pays où elle est née, les États-Unis. Elle est devenue citoyenne américaine en 2004, et elle et son fiancé Peter Biver résident actuellement à Las Vegas.

Surya Bonaly a accordé une interview au Parisien sur sa vie outre-Atlantique alors qu’elle était en France en tant qu’épouse de l’artiste Mondiaux. Elle explique qu’elle gagne désormais sa vie en tant qu’entraîneure de jeunes cavaliers ; si l’on en croit les titres majeurs, il s’agit d’un business lucratif, et l’ancien champion du monde facture la modique somme de 90$ (environ 82€) par heure de cours.

Lorsqu’on lui demande si elle envisage de retourner travailler en France, elle répond : « Je suis ouverte à tout, mais aux États-Unis, le coaching est privé, donc vous êtes payé à la leçon. Il y a moins de sécurité maintenant, mais si nous travaillons dur, nous pouvons augmenter nos chances de succès. C’est particulièrement difficile en France, où les salaires mensuels sont suffisants.

Si Surya Bonaly a peut-être fait le bonheur de la France à l’époque jupon, elle vit depuis quelque temps à l’étranger. Le 15 décembre, elle a eu 49 ans; elle vit aux États-Unis depuis près de deux décennies.Beaucoup de gens se souviennent d’elle pour avoir popularisé le mouvement “salto arrière” et son dévouement au tumbling artistique; elle a remporté cinq fois le championnat d’Europe et a été vice-championne du monde en 1993 et 1995.

Le 15 décembre, Surya Bonaly aura 49 ans, mais il n’a jamais perdu son amour de la sculpture sur glace. Cependant, elle met désormais ses compétences à profit dans un autre pays, puisqu’elle s’entraîne aux États-Unis depuis plus de vingt ans alors qu’elle y est victime de racisme.

“Cela fait vingt ans que je m’entraîne. J’ai complètement arrêté de me produire dans les spectacles publics en 2015. pas tous ; elle a aussi été “sollicitée” pour “participer à des programmes d’échanges internationaux (Mexique, Norvège, Espagne) ou pour des opportunités de scène”.

L’ancien athlète professionnel a retenu quelques dictons de ses jours de compétition intense. Cela fait un moment que je n’ai pas débranché le cordon pour la dernière fois. Chaque mois de mars, elle s’est plainte au magazine français Figaro de douleurs au dos, à l’estomac et aux parties génitales. À tel point qu’elle a dû céder et se faire opérer.

Elle explique à ses élèves : “Au bout de trente minutes, je suis malade, mais je fais toujours des doubles axes sans échauffement.” De toute évidence, elle n’a pas la même énergie et le même corps que lorsqu’elle était plus jeune, mais elle continue de performer. démonstrations de ses nouvelles compétences via des acrobaties sur la glace. J’ai l’intention d’embarrasser ma classe.

Netflix a publié un documentaire reflétant sa vie et sa carrière troublées, soulignant le potentiel de motivation de la défaite d’un champion. Même si elle n’a jamais été classée parmi les trois premières, le sien remonte au JO. Ça doit être très excitant pour lui d’avoir deux films en production à la fois, dont un pour le septième art.

Surya Bonaly s’est contenté de préserver les moments forts de sa carrière non linéaire, affirmant: “Si c’était à refaire, je ne changerais rien.” Je ne pense pas que le public français m’ait aimé autant que j’aurais pu l’être si j’avais fait du patinage « plat et ennuyeux ». Et une chose est sûre : il était tout sauf ennuyeux.

Le médaillé d’or olympique Gwendal Peizerat s’est exprimé sur Morandini Live de CNews le 10 février 2020, pour discuter des diverses formes d’abus auxquels les athlètes professionnels sont vulnérables.Le mouvement #MeToo a donné à l’art du sexisme son propre mouvement. publié deux ans après le mouvement qui avait secouru le monde du cinéma, Sarah Abitbol, éminente promotrice du patinage artistique, accuse son entraîneur d’abus sexuels.

Surya Bonaly Enceinte

Depuis, la communauté a été contrainte à une introspection profonde et nécessaire. La championne olympique de pagayage artistique Gwendal Peizerat était l’invitée de Morandini Live sur CNews le 10 février 2020, lorsqu’elle a évoqué les différentes formes d’abus auxquels les athlètes d’élite sont vulnérables. Les sportifs et les athlètes sont particulièrement exposés aux abus physiques et psychologiques, ainsi qu’aux agressions sexuelles. Et le promoteur a utilisé l’affaire Surya Bonaly comme exemple.

Gwendal Peizerat a déclaré: “Il y a beaucoup de gens qui essaient de parler et puis nous devons les forcer à se taire.” Parce que les entraîneurs passent tellement de temps avec leurs protégés, souvent plus que les propres parents des enfants, ils ont tendance à nouer des liens personnels étroits avec eux.

Certaines personnes sont contraintes de quitter leur famille pour suivre un enseignement dans un établissement national comme l’INSEP ; ces personnes ont été abandonnées par leurs proches et Mais juste avertissement : nous avons parlé d’entraîneurs masculins, mais les entraîneurs féminins peuvent être tout aussi agressifs.

Des conversations récentes ont évoqué les actes d’abus bien documentés commis par la mère de Surya, qui a également été son entraîneur. Tout le monde le savait, bien sûr. Que dois-je faire? Comme le dit le proverbe français : “Tirer par la natte pour l’emmener dans les vestiaires, lui jeter des protèges-lames à la figure…”

Après cela, Gwendal Peizerat évoque la servitude subie par la mère de Surya Bonaly. C’est-à-dire, attrapez-le par la peau du cou et conduisez-le dans le vestiaire, où vous pourrez l’équiper d’un masque de protection et d’un pantalon. Je m’excuse de l’avoir évoquée, mais il y a plein d’autres personnes avec qui je pourrais la remplacer.

Notre équipe de France traverse une mauvaise passe en ce moment, mais la liberté d’expression de Sarah nous a fait des oreilles sympathiques, et les témoignages sont nombreux aujourd’hui. Et nous reconnaissons l’importance qu’il aura pour les générations futures.

Gwendal Peizerat est optimiste que le monde de l’art du patinage et le monde du sport finiront par prendre conscience des conséquences du dopage. Il y a un énorme projet de construction en cours pour créer un tout nouveau type de fédération.

Parce que nous ne sommes pas seuls, nous pouvons utiliser la réflexion collective, sportive et citoyenne pour expérimenter de nouvelles idées et évoluer vers une fédération modèle dont d’autres groupes pourraient s’inspirer. Plus de gens doivent s’impliquer, et chacun devrait rejoindre des groupes de travail et fournir des idées au ministre et au comité olympique pour que cela ne se reproduise plus jamais dans le sport.

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