Affaire Jennifer Coutin – Nathalie Renoux sera en avant-première du dernier numéro d'”Enquêtes criminelles” sur W9 ce jeudi 22 septembre prochain à 21h05. Corinne Coutin est dévastée par la mort non élucidée de sa fille Jennifer, alors âgée de 14 ans, depuis deux décennies. La matriarche de la famille a toujours nié les soupçons selon lesquels elle était responsable de l’acte odieux. Elle a finalement pu identifier le véritable coupable, et il est libre maintenant. Elle a décidé de faire confiance à quelqu’un pour la première fois lors des “enquêtes criminelles”.

Corinne a retrouvé le corps de sa fille adulte avec huit coups de couteau, dont un au cœur, le 20 mars 2001, alors qu’elle rentrait chez elle. Ensemble, cette mère de quatre enfants divorcée qualifie un homme riche de criminel potentiel : un producteur de champagne, un pompier volontaire et un conseiller municipal. Corinne avait une liaison extraconjugale avec un homme marié qui était aussi père.

Mais il avait déjà décidé de la quitter un mois avant le drame. Se sentant humiliée, Corinne explique qu’elle a mal réagi et a laissé croire à son petit ami qu’elle avait filmé leur dispute avec la menace de la montrer à sa femme. Par conséquent, Corinne est convaincue que le renard infidèle se serait rendu chez elle pour récupérer les preuves à charge et, en rencontrant la résistance de Jennifer, l’aurait assassinée.

Alors, Jennifer, serait-elle une spectatrice victime d’un chantage de sextos ? Peut-être tort. Mais si le conjoint infidèle avoue avoir peur de tout perdre au profit de la police, il niera toute responsabilité. Surtout, les enquêteurs apprennent que Corinne Coutin a été peu communicative en matière d’informations.

En seconde partie d’émission, “Enquêtes criminelles” portera sur la condamnation à 30 ans de prison de Sébastien Malinge pour le meurtre en 2010 de Michèle Martinez, 66 ans, retrouvée morte avec un tournevis planté dans la tempe. Corinne Coutin a a été dévastée par la mort non résolue de sa fille Jennifer, alors âgée de 14 ans, au cours des deux dernières décennies. La matriarche de la famille a toujours nié les soupçons selon lesquels elle était responsable de l’acte odieux. Elle a finalement pu identifier le véritable coupable, et il est libre maintenant. Elle a décidé de faire confiance à quelqu’un pour la première fois lors des “enquêtes criminelles”.

Corinne est rentrée chez elle le 20 mars 2001 et a retrouvé le corps de sa fille adulte au milieu du salon, avec huit coups de couteau, dont un au cœur. Ensemble, cette mère de quatre enfants divorcée qualifie un homme riche de criminel potentiel : un producteur de champagne, un pompier volontaire et un conseiller municipal.

Corinne avait une liaison extraconjugale avec un homme marié qui était aussi père. Mais il avait déjà décidé de la quitter un mois avant le drame. Se sentant humiliée, Corinne explique qu’elle a mal réagi et a laissé croire à son petit ami qu’elle avait filmé leur dispute avec la menace de la montrer à sa femme. Par conséquent, Corinne est convaincue que le renard infidèle se serait rendu chez elle pour récupérer les preuves à charge et, en rencontrant la résistance de Jennifer, l’aurait assassinée.

Alors, Jennifer, serait-elle une spectatrice victime d’un chantage de sextos ? Peut-être tort. Mais si le conjoint infidèle avoue avoir peur de tout perdre au profit de la police, il niera toute responsabilité. Surtout, les enquêteurs apprennent que Corinne Coutin a été peu communicative en matière d’informations.

Jennifer_mary Le 20 mars 2001 à 15h30, Jennifer Mary, 14 ans, élève en cinquième au collège Pierre-de-Coubertin de Cormontreuil (Marne), décroche. Corinne Coutin, mère célibataire de quatre enfants, a découvert le corps sans vie de sa fille vers 17h30 alors qu’elle nettoyait la maison.

Jennifer a reçu des coups de poing dans le dos, l’aine et les jambes par son agresseur. Il n’y a eu aucun rapport de vol ou d’agression sexuelle à son domicile. Un seul des placards est en désordre. A l’intérieur, la police découvre l’arme du crime.

La police commence immédiatement à enquêter sur les deux amants de la mère et d’autres membres proches de la famille. L’un d’eux, Franck Philippart, est particulièrement suspecté. Malgré la faiblesse du dossier, celui-ci a été revu et finalisé entre le 19 février et le 4 juillet 2002.

L’appareil mobile sophistiqué des enquêteurs est difficile à utiliser. Corinne Coutin avait eu l’intention de tout dire à son mari avant qu’il ne la largue. Puis, quand Jennifer serait rentrée chez elle, quelqu’un l’aurait vue fouiller dans les tiroirs à la recherche de preuves incriminantes.

La mère de l’adolescent a exprimé son mécontentement face au verdict au journal l’Union, disant : « C’est difficile de croire en la justice après ça. Moi-même, je me suis retrouvé en détention visible. Certaines personnes sont conscientes de la vérité mais choisissent de l’ignorer. J’ai eu la chance jusqu’ici d’éviter d’aller en prison à leurs côtés. Je suis convaincu, mais elle ne bougera pas de sa position. Je suis juste doué pour me causer de la douleur et de l’isolement. Ou, “Laisse-moi faire la bonne chose par moi-même et aller voir Jennifer.”

Le verdict a été rendu à 21 heures hier soir. Philippe Duflos a été condamné à vingt-cinq ans de réclusion criminelle et à seize ans de surveillance supplémentaires par la cour d’appel de l’Oise pour son rôle dans le meurtre et les voies de fait de Jennifer Vimeux. La famille de la victime a déclaré en entendant la sentence : “Il méritait bien plus”. Il a réussi à éviter la perpétuité, mais sa violence n’en a pas moins été reconnue. C’est toujours un monstre même maintenant. Il n’y avait aucun respect pour le conseiller juridique en chef. Elle avait demandé l’isolement criminel permanent avec vingt-deux ans de sécurité supplémentaire.

Il “imaginait” une vie qu’il aurait aimé vivre. C’est ainsi que Philippe Duflos, 49 ans, a été précisément caractérisé par sa collègue Nathalie. L’ancien gardien du stade de Creil semblait avoir planifié toute sa vie jusqu’au dernier châtiment. J’ai été sur la peine maximale dès le premier jour. Il est allé directement à la cour d’honneur dans son baroud le premier jour car il savait que cela ne l’empêcherait pas de dormir.

Le meurtrier de Jennifer Vimeux n’a cessé d’embrouiller le jury tout au long des trois jours du procès. Pourquoi un homme que les psychologues décrivent comme ennuyeux aurait-il agi si brutalement envers sa petite amie de 22 ans, Jennifer Vimeux ? Un vrai cauchemar. C’est la concrétisation d’un rêve de toujours pour Philippe Duflos.

Affaire Jennifer Coutin

Ce fantasme est la petite amie de Nicholas, Jennifer. Cependant, le 13 novembre 2008, Jennifer décide de rompre définitivement sa relation avec Nicolas. Non sans appréhension, elle retourne chez son fiancé pour récupérer ses affaires. Duflos lui avait dit quelques jours plus tôt qu’elle était « son fantasme ». Depuis, il a « peur »

Ce soir, Nicolas n’est pas chez lui. Duflos est dans une maison fermée avec l’objet de son désir. Jennifer allait rompre définitivement avec Nicolas, a déclaré l’avocate civile Martèle Me Thavard. Avec cette dernière chance de réaliser son fantasme, il la saisit et couche avec elle. Mais il en prend une bouchée phénoménale. Jennifer menace de tout dire et il envisage de lui imposer une fellation. Isabelle Verissimo, la procureure générale, pousse sa démonstration plus loin : «

Elle avait déjà commencé à rompre avec Nicolas et envisageait de faire de même avec Philippe. Les experts ont expliqué la dynamique père-fils inhabituelle. Il s’agit du fils de Philippe Duflos, qu’il a élevé seul dès l’enfance. Le style parental de Duflos est le reflet de celui de son père. Il essayait de se retrouver en lui. Michel, le frère de Jennifer, le résume parfaitement : “Il a essayé de vivre la vie de son fils.” Le président Damulot poursuit : « C’était la petite amie que vous auriez aimé avoir.

Jennifer entre dans la mêlée et secoue un peu les choses. La belle Jennifer, qui à 22 ans a encore l’audace de faire tourner les têtes et entretient une certaine ambiguïté dans sa relation avec son beau père. Duflos, coincé dans sa vie imaginaire, invente des rencontres sexuelles régulières avec la fille de ses rêves afin de sortir plus tard des abus présumés. Même encore, il n’est pas ami avec Jennifer : “Elle a causé des problèmes dans ma famille”, dit-il. Six mois après le meurtre, un Nicolas inconsolable se retire dans la forêt d’Halatte. A son père, il écrira : “Tu as volé ma vie”.

Les deux avocats qui représentent Philippe Duflos se sentent très seuls à ses côtés. Nous sommes assis sur le banc maude, annonce Me Makarewicz à l’unanimité. Au fur et à mesure que le public grandit, nos pitreries fougueuses augmentent également. Après avoir plaidé au nom du père qui ne voulait que ce qu’il y avait de mieux pour son fils, Me Robin va implorer les juges, “Faire ? Justice Travail. Est-ce justifiable ? L’effort humain”. Philippe Duflos va ” vivre avec les fantômes de Jennifer et Nico. “

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